Il m’arrive d’aller coller, peindre ou bricoler dans la rue. J’aime beaucoup le côté « défouloir » et éphémère de la chose. Surprendre les passants en rhabillant la fontaine de mon village, jouer avec l’architecture d’une allée d’arcades (Voir le « 50 de la mairie de Rodilhan »), étonner et faire sourire avec mes moutons…